Écrits

• Alexis Labeaume de Paris à Robervale. Guylaine Grenier raconte l’histoire de son arrière-grand-père Alexis. Encouragé par une campagne sur le sol français favorisant l’émigration vers le Canada, il décide, en 1897, de quitter son pays pour rejoindre, avec sa famille, la région de Saint-Albert en Alberta.

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• La famille de Pitre Flamand à travers le Canada. Annie Boily raconte une partie de l’histoire de Pitre Flamand qui a parcouru une bonne partie du Canada au cours de sa vie. Que ce soit à pied, à cheval ou en train, Pitre voyage de Beauport au Lac-Saint-Jean jusqu’en Alberta, en passant par l’Ontario et le Manitoba pour enfin revenir au Saguenay. Son bilinguisme lui permet alors de travailler pour l’entreprise Alcoa (Alcan) de la ville nouvelle d’Arvida en 1925.

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• Jean-Gaspard Normand : un aventurier polyvalent. Richard Normand et André Normand relatent le parcours de vie de Jean-Gaspard Normand né à Québec en 1712 et qui, après avoir exercé les métiers d’aubergiste et de charretier à Montréal et à Longueuil, devient marchand voyageur dans la vallée de l’Ohio et qui, au lendemain de la Conquête, ira vivre en Louisiane après avoir vendu tous ses biens à Montréal.

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• Un bigame en Louisiane : les deux mariages du voyageur Grenet dit Mailloux (1770-1823) Le cas de Louis-Charles Grenet (1770-1823), un natif de Berthier-en-Haut qui a fini sa vie en Louisiane sous le nom de Louis Mailloux dit Londrin, est l’objet d’une recherche réalisée par Pierre Gendreau-Hétu. L’étude du parcours de Grenet révèle un rare cas de bigamie dissimulé par une mue identitaire.
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• ESTHER PARISEAU (Parizeau) — Mère Joseph du Sacré-Coeur, missionnaire et première femme architecte du Nord-Ouest américain. Jeanne Maltais dresse le portrait d’une figure emblématique du Nord-Ouest américain, qui fonde, en quarante-six ans de vie religieuse, près d’une trentaine d’établissements.
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• Un îlot francophone dans le canton de Caldwell, Ontario, en 1901 Alors que des centaines de milliers de Canadiens français quittent la province de Québec dans le courant du 19e siècle pour s’établir aux États-Unis, une partie non négligeable de cette population migrante choisit l’Ontario comme destination. Plusieurs paroisses ou comtés deviennent alors des pôles d’attraction à l’instar de celui de Caldwell. L’étude réalisée par Guy Parent nous fait découvrir les caractéristiques de la population francophone de ce canton en 1901.
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